Les Premiers bâtiments de Taanière commencent à pousser. La fourgonnette est beaucoup sollicitée puis qu’elle fait toute la corvée eau. Les maçons n’ont pas suivi mes directives. Le bâtiment est bas, mais ils vont corriger tout ça. Et ils sont en retard sur les délais.
Les étudiants, une douzaine, travaillent sur le site à fabriquer les briques en adobe. Ils sont motivés, et ils vont se faire un petit pactole.
J’ai du arrêter avec les puisatiers. Ils avaient creusé 5 puits sans jamais trouver de l’eau.
Gontran est avec moi pour ce voyage. Il porte des Feragamo aux pieds, pour faire de la bourse.
Il faut couvrir ce premier bâtiment. Je me rends compte que tout est devenus subitement cher dans le village. Un bâtiment en adobe revient à presque 500 000F. Comment font les villageois.
Avec Gontran, nous retournons au nod d’épervier, que j’avais localisé plus à ma dernière visite. Le paysage est fabuleux. On a envie d’y rester tout la journée.
Gerry et vue sur Taanière
Ce passage est mis à contribution aussi pour visiter les futurs locaux de TTA à Kara. La villa guest house, et les bureaux. Tout est en place. Faut trouver l’argent.
Le dernier jour, nous tentons vaille que vaille à attraper du poissons. Ma superbe ligne pour la pêche au carnassier ne me sert pas à grand chose. Les poissons ne connaissent manifestement pas les leurres européens. Bref, le chaud soleil nous fait fuir le bord du ruisseau.
Le problème reste l’eau. Faut trouver l’argent pour les forages.
Le poisson n’a pas aimé les leurres.
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